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 Mort d'un quartier-maitre [Achevé] A-0

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stephanie
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stephanie


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MessageSujet: Mort d'un quartier-maitre [Achevé] A-0   Mort d'un quartier-maitre [Achevé] A-0 EmptyVen 17 Juin à 15:23

'Cette histoire est un cross-over avec la série New York, unité spéciale
Titre : Mort d’un quartier-maître
Auteur : Stéphanie
Disclaimers : Les personnages du Jag et de New York, unité spéciale ne m’appartiennent pas…
Spoilers : début de la saison 7 de Jag mais je pense que tout le monde est au courant
Résumé : Harm et Mac enquête sur la mort d’un quartier-maître qui c’est produit à Norfolk
e-mail : stephanie2404@hotmail.com
Que l’histoire commence...
Légende : -HR : Harmon Rabb
-SM : Sarah Mackenzie
-BR : Bud Roberts
-AJ : Amial Chegwidden
-T: Tiner
-C: Commandant
-CJ: Apprenti Jonhson
-MC : Madame Carlson
-HC : Hugo Carlson
-ES : Elliot Stabler
-OB : Olivia Benson
-CC : Capitaine Cragen
-BB : Baby-sitter

Mort d’un quartier-maître

15/01/03
8:30
Fall Church

Comme tous les matins, je garais ma voiture devant les bureaux du Judge Avocate General, le Jag, et pris l’ascenseur pour monter jusqu’à mon bureau. C’est là que je rejoignais le lieutenant Roberts :
Harm : Bonjour, Bud
Bud : Bonjour, Capitaine.
Ce capitaine c’est moi, le capitaine de frégate Harmon Rabb junior avocat au Jag depuis bientôt 5ans. En fait, je n’ai pas toujours été avocat, avant j’étais pilote de chasse mais, suite à un accident où j’ai crashé mon F-14, les médecins ont diagnostiqué chez moi des troubles de la vision nocturne il n’était donc plus question pour moi de piloter. C’est pour cela que je me suis retrouvé avocat au Jag.
A l’arrivé de l’ascenseur, nous retrouvons le colonel Mackenzie :
Harm : Bonjour, Mac
Mac : Bonjour, Harm. Bonjour, Bud
Mac, le lieutenant-colonel Sarah Mackenzie est ma collègue et meilleure amie. Nous travaillons ensemble depuis 3ans.
Harm : Bonjour, Tiner
Tiner : Capitaine, colonel. L’amiral voudrait vous voir tout de suite.
Harm : Nous arrivons Tiner.
Je pose mes affaires dans mon bureau et rejoint Mac qui part vers le bureau de l’amiral Chegwidden.
Harm : Bonjour, Amiral
AJ : Repos tous les deux. Asseyez-vous. Avez-vous lu le journal ce matin ?
Mac : Pas encore, amiral. Répondit Mac
AJ : Et vous, capitaine ?
Harm : Non, amiral.
AJ : Il y est expliquer la mort d’un jeune marin, le quartier-maître Carlson. La police militaire a un suspect, l’apprenti Jonhson. Celle-ci n’a pas d’alibi et elle a été vue sur les lieux du crime à l’heure de la mort de Carlson. Je veux que vous participiez à l’enquête et que vous trouviez le coupable. Vous partez tout de suite pour Norfolk. Des questions ?
Harm : Non, monsieur.
AJ : Rompez
Harm : A vos ordres.
J’étais ravi de me retrouver avec Mac pour cette enquête. J’étais plongé dans mes pensées qui dérivait vers Mac comme d’habitude lorsque j’entendit que l’on m’appelait par mon prénom :
Mac : Harm, vous êtes prêt ?
C’était Mac, justement.
Harm : Pardon ?
Mac : Vous êtes prêt ?
Harm : J’arrive.

15/01/03
09 :00
Quelque part entre Washington et Norfolk

Mac s’était endormie à coté de moi et je laissais, en surveillant la route, à nouveau mes pensées dérivées sur les 3 dernières années que nous avions passées ensembles, Mac et moi. Elle avait failli se marier avec cet australien et puis il était retourné chez lui et depuis j’avais essayé des dizaines de fois lui dire ce que je ressentais pour elle mais je n’y étais pas encore arrivé, ce n’était jamais le bon moment. Peut-être que durant notre enquête je trouverais le moment.
Mais nous arrivions à Norfolk et je du donc réveiller Mac.

15/01/03
12 :00
Norfolk

Harm : Capitaine Rabb et Colonel Mackenzie au rapport, commandant.
Commandant : Repos, vous venez enquêter sur la mort du quartier-maître Carlson, je suppose.
Mac : Oui, monsieur.
Commandant : Vous pouvez compter sur moi pour être à votre entière disposition.
Mac : Merci, nous voudrions pouvoir interroger l’apprenti Jonhson.
Commandant : Bien sur.







15/01/03
14 :00
Norfolk

Jonhson : Capitaine, colonel
Harm : Repos, apprenti
Harm : Je suis le capitaine de frégate Harmon Rabb et voici le lieutenant-colonel Sarah Mackenzie du Jag.
Jonhson : Apprenti Caroline Jonhson, Monsieur.
L’apprenti Jonhson était une jeune fille avec un regard qui en disait long sur les tristes sentiments qui l’habitait.
Harm : Asseyez-vous apprenti.
Jonhson : Merci, monsieur
Mac : Vous savez s’en doute pourquoi nous sommes là, apprenti ?
Jonhson : Oui, colonel.
Mac commença l’interrogatoire
Mac : Quelles étaient vos relations avec le quartier-maître Carlson ?
Jonhson : Nous étions très proche, nous travaillions ensemble depuis quelques mois mais nous nous connaissions déjà car nous avons grandi dans le même quartier.
Mac : Que faisiez-vous le jour du meurtre ?
Jonhson : Tom, enfin je veux dire le quartier-maître Carlson, et moi avions rendez-vous et je venais le chercher lorsque je l’ai entendu crier. Mais quand je suis arrivé, il était trop tard, il était mort et il n’y avait plus personne.
L’apprenti Jonhson était abattue, elle avait retenu ses larmes durant toute son explication mais maintenant elle ne pouvait plus les retenir.
Mac : Si vous voulez nous pouvons continuer plus tard ?
Jonhson : Non, ça va aller madame.
Je pris la suite des questions :
Harm : Avez-vous entendu le coup de feu ?
Jonhson : Non, monsieur. Je n’ai rien entendu
Harm : Qu’avez-vous fait en trouvant le corps du quartier-maître ?
Jonhson : J’ai appelé des secours mais il était déjà mort.
Harm : Merci, apprenti. Reposez-vous
Jonhson : A vos ordres, monsieur

15/01/03
20 :00
Norfolk

Je frappais à la porte de Mac car nous avions décidé de parler de notre enquête après le dîner.
Harm : Salut, Mac
Mac : Salut, Harm.
Je restais là à la regarder, je savais que je devais arrêter mais je n’y arrivait pas.
Mac : Vous entrez, Harm ou vous restez dehors
Harm : Non, je rentre si vous voulez bien.
HR : Que pensez-vous de l’affaire, Mac ?
SM : Je crois que Jonhson ne nous a pas tout dit
HR : Que voulez-vous dire ?
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stephanie
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stephanie


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MessageSujet: Re: Mort d'un quartier-maitre [Achevé] A-0   Mort d'un quartier-maitre [Achevé] A-0 EmptyVen 17 Juin à 15:24

SM : Ce que je veux dire c'est que le quartier-maître Carlson était marié et je pense qu’il trompait sa femme avec l’apprenti Jonhson.
J’étais là à regarder Mac m’exposer sa théorie mais je n’écoutais rien du tout lorsque je me rendit compte qu’elle s’était tue. Je ne sais pas combien de temps elle avait arrêté de parler mais elle me regardait d’un air bizarre.
SM : Ca ne va pas, Harm ?
HR : Heu… si, si très bien.
Mais pourquoi est ce que je restais là sans rien faire alors que j’avais la femme de ma vie devant moi. Mais qu’est ce que je foutais.
HR : Donc vous pensez qu’il trompait sa femme ?
Voilà tout ce que j’avais trouvé à dire.
SM : HARM !!!! C’est ce que je viens de vous dire, vous devriez vous reposer vous savez.
Je ne la quittais pas des yeux et elle, elle me disait de me reposer. J’allais craquer, je ne saurai pas résister. Mais il le fallait !
Mais à force de la regardé, je m’étais rapproché et je me trouvais si près d’elle que je pouvais la toucher. J’avais plongé mon regard dans ses beaux yeux noisettes et là je me suis alors penché pour l’embrasser tout doucement.
SM : Harm, il ne faut pas…
HR : Chut, Mac ne dites rien.
Et elle s’est laissée aller contre moi. C’est à ce moment-là que j’ai compris qu’elle ne me repousserait plus et je l’aie prise dans mes bras et je l’aie amené jusque sur son lit et nous avons passé une nuit très agitée.

16/01/03
7 :30
Norfolk, quartier de Mac

J’étais déjà debout depuis une demi-heure lorsque Mac émergea de son sommeil.
HR : Salut, toi. Lui dis-je
SM : Salut, Harm.
HR: Comment vas-tu ?
SM : Je vais très bien. Me répondit-elle avec un sourire éblouissant et en se levant pour venir m’embrasser.
Mais nous devions nous préparer pour aller voir la femme du quartier-maître Carlson.

16/01/03
08 :30
Maison du quartier-maître Carlson

HR : Madame Carlson ?
MC : Oui
HR : Je suis le capitaine de frégate Harmon Rabb et voici le lieutenant-colonel Sarah Mackenzie. Nous travaillons pour le Jag, pouvons-nous entrer ? Nous voudrions vous posez quelques questions.
MC : Oui, bien sur ! Entrez
HR : Merci
Pour une femme qui vient juste de perdre son mari, madame Carlson n’avait pas l’air trop affecté.
SM : Pouvez-vous nous parler de votre mari, madame
MC : C’était un homme qui était respecté par tous ses collègues et apprécier par tout le monde, mais entre nous ce n’était plus le grand amour. Nous vivions dans la même maison mais nous faisions chambre séparée depuis que nous avions eu notre fils. Il avait même commencé à chercher un appartement.
HR : Pensez-vous qu’il vous trompait ?
MC : Non, je ne pense pas, j’en suis sur. Mais je ne peut pas vous dire avec qui car je n’en sais rien.
HR : Saviez-vous qu’il avait rendez-vous avec l’apprenti Jonson le jour de sa mort ?
MC : Je savais qu’il avait rendez-vous car il avait pris des affaires pour se changer après son travail mais je ne savais pas que c’était avec l’apprenti Jonhson.
SM : Vous connaissez l’apprenti Johnson ?
MC : Oui, elle travaillait avec mon mari et ils étaient très proche.
Je remarquait qu’il y avait beaucoup de photo, dans la maison, d’un petit garçon. J’en pris une et demandais :
HR : C’est votre fils ?
MC : Oui, c’est Hugo notre fils
HR : Quel age a-t-il ?
MC : Il vient d’avoir 10 ans
HR : Merci madame Carlson, nous n’avons pas d’autre question
MC : Au revoir

16/01/03
10 :00
Norfolk

Nous étions de retour dans le bureau que nous avait attribué le commandant de la base et je réfléchissait à cette histoire. Que peut faire une femme qui apprend que son mari la trompe ? Peut-elle le tuer ? Ou alors c’était l’apprenti Jonhson la coupable. J’en était là avec mes réflexions quand Mac arriva.
SM : Salut, me dit-elle, tu as l’air perplexe ?
HR : Je pensais à tout cette histoire. Je me demandait la quelle des deux femmes aurait pu le tuer.
SM : Et si nous retournions voir l’apprenti Jonhson ?
HR : Bonne idée, répondit-je en lui faisant mon plus beau sourire
SM : Harm si tu me souris tout le temps comme ça, je ne saurais pas me concentré sur notre affaire.
HR : A vos ordres, colonel, j’arrête de sourire. Lui répondis-je tout en me demandant ce que pouvait bien avoir de si déconcentrant mon sourire
SM : Idiot.

16/01/03
10 :30
Norfolk

CJ : Capitaine, colonel.
SM : Bonjour, apprenti. Comment vous sentez-vous aujourd’hui ?
CJ : Ca va, madame, je tiens le coup.
SM : Tant mieux, apprenti.
Je commençais à lui posé les questions :
HR : Apprenti, saviez-vous que le quartier-maître Carlson avait décidé de quitter sa femme ?
CJ : Oui, monsieur, il m’en avait parler.
SM : Depuis combien de temps étiez-vous ensemble ?
CJ : Depuis 3 mois, madame, mais comment avez-vous deviné ?
SM : L’intuition !
HR : Aviez-vous l’intention de vous installer ensemble ?
CJ : Non, monsieur, mais le quartier-maître Carlson voulais s’y installer avec son fils.
SM : Il avait l’intention de demander la garde de son fils ? Demanda Mac étonnée
CJ : Oui, madame, il voulait l’éloigner de sa mère parce qu’il pensait qu’elle le mettait en danger.
HR : Comment ça en danger ?
CJ : Je ne sais pas, monsieur. C’est ce qu’il m’avait dit
J’interrogeait alors Mac du regard pour voir si elle avait encore des questions et comme elle me faisait comprendre qu’elle n’en avait plus, je m’y fin à l’entretien :
HR : Merci, apprenti. Au revoir
CJ : Au revoir, capitaine, colonel

16/01/03
16 :00
Ecole de Norfolk

Mac et moi avions décider d’aller parler au fils Carlson pour voir ce qu’il nous dirait. Nous étions donc là, à l’attendre parmi tous les parents venu rechercher leurs enfants. Comme si nous étions venu chercher notre enfant.
HR : Tu sais Mac, nous devrions revoir notre timing.
SM : Notre timing ?
HR: Tu te rappelles notre pari ?
SM : De faire un enfant ensemble dans 5 ans si nous étions tous les deux seuls à ce moment-là.
HR : Oui.
SM : Bien sur que je me rappelle.
HR : Alors, on devrait……
Mais je ne pus pas achevé ma phrase car les enfants commençait à sortir et que nous devions chercher Hugo Carlson.
SM : Harm, regarde ce petit garçon là-bas qui attend le bus.
HR : Oui, on dirait bien que c’est lui, vient allons lui parler.
Nous nous approchions de l’arrêt de bus quand une voix nous interpella :
HC : Vous travaillez pour la marine ?
C’était Hugo Carlson justement
HR : Oui, je suis le capitaine Harmon Rabb et voici le colonel Sarah Mackenzie.
SM : Et toi tu dois être Hugo Carlson. Demanda Mac
HC : Oui, répondit le petit garçon, comment le savez-vous ?
SM : Nous essayons de découvrire ce qui c’est passé pour ton papa.
A l’évocation de son père, les yeux de l’enfant s’embuèrent. Mais le petit garçon ne se mit pas à pleurer, il serra les dents et se repris très vite. Je trouvais cette attitude étrange pour un petit garçon qui vient de perdre son père. Je m’agenouilla alors devant lui :
HR : On peut te poser quelques questions ?
HC : Ma maman a dit que je ne pouvais pas vous parler, si non…
Il laissa sa phrase en suspend.
HR : Si non quoi, bonhomme.
HC : Rien, monsieur, je ne peux pas vous parlez parce que mon bus arrive et que maman elle s’inquiète si je rentre en retard, au revoir.
Nous regardions le bus partir et Mac dit :
SM : Cet enfant est terrorisé.
HR : Oui, et si le quartier-maître voulait vraiment l’emmené pour le protégé, sa femme peut l’avoir tuer pour qu’il n’ai pas la garde.
SM : Tu crois qu’il voulait l’empêcher de voir son fils.
HR : Je ne sais pas, mais je trouverais un moyen de parler à cet enfant, je n’aime pas quand un enfant a peur de quelqu’un, surtout si c’est de sa propre mère !

16/01/03
19 :00
Norfolk

J’étais dans mes quartiers en train de me préparer car j’avais invité Mac au restaurant. Mais je n’arrêtais pas de pensé à ce petit garçon et à son regard terrifié quand nous lui avions demandé pour lui parler.
Et si sa mère lui avait dit qu’il ne pouvais pas nous parler, que lui ferait-elle si c’était le cas ? Est-ce que Hugo était battu par sa mère ? Ou bien était ce pire que ça ? Mais qu’est ce qui pouvait être pire que d’être battu par sa mère ?

16/01/03
19 :30
restaurant « la marine »

Nous avions été servi et nous commencions à mangé mais je n’avais pas très faim. Je pensait toujours au petit Carlson. Mac se rendit compte que je ne mangeait pas :
SM : Harm, tu n’a rien mangé ?
HR : Je n’ai pas très faim.
SM : Tu en fait une tête, si c’est tout ce que ça te fait d’être avec moi…
Je regardait Mac et essayait de lui sourire.
HR : Je n’arrête pas de penser à Hugo Carlson.
SM : Moi aussi, Harm. Mais nous ne pouvons rien faire s’il ne veut pas nous parler.
HR : Mais il ne veut pas parce qu’il a peur !
SM : Harm, nous essayerons encore de lui parler demain, d’accord.
HR : Ok, et en lui faisant mon plus beau sourire j’ajoutais, je crois que nous n’avons pas terminé notre discussion tout à l’heure ?
SM : Non, tu voulais que nous revoyions notre planning, c’est ça ?
HR : Humm
SM : Ce qui nous amènerait ?
HR : Plus tôt
SM : Je suis tout à fait d’accord. Me répondit-elle avec un large sourire

17/01/03
7 :30
Norfolk, chambre de Mac

Nous étions endormis tous les deux, Mac dans mes bras, lorsque le téléphone sonna. Sans me rendre compte que je n’était pas dans ma chambre, je répondit :
HR : Rabb
AJ : Capitaine ? Mais que faites vous dans la chambre du colonel ?
HR : Amiral ? En entendant la voix de mon supérieur, je m’étais relever et Mac qui c’était réveiller se redressa aussi. Mais que pouvais-je répondre à l’amiral ?
AJ : Ce n’est pas important pour le moment, capitaine, mais je veux vous voir tous les deux dans mon bureau dès votre retour de Norfolk.
HR : A vos ordres, amiral.
AJ : Bon, où en est votre enquête ?
HR : Nous pensons que madame Carlson aurait pu tuer son mari parce que celui-ci voulais divorcé et avoir la garde de leur fils. Mais nous n’avons aucune preuve.
AJ : Bien, continuer et coincé moi ce meurtrier
HR : A vos ordres, amiral.
AJ : Ha, capitaine, ne vous faites pas remarqué vous et le colonel !
HR : A vos ordres
AJ : Au revoir
HR : Bonne journée, monsieur
Je venais à peine de raccrocher que Mac me questionnait :
SM : Qu’est ce qu’il a dit ?
HR : Il voulais savoir comment se passait notre enquête.
SM : Et ?
HR : Il a aussi dit de ne pas nous faire remarquer et qu’il voulait nous voir tous les deux dans son bureau à notre retour.
SM : Bon on est sauvé pour le moment. Alors vous pourriez m’embrasser, capitaine.
HR : A vos ordres, colonel.
J’embrassais donc Mac avec passion. Mais elle m’arrêta :
SM : Stop, Harm, nous devons penser à notre enquête.
C’est à ce moment-là que l’on entendit frappé à la porte. Je me dépêchais donc de passer mon pantalon et ma chemise pour aller ouvrir et je découvrit Hugo Carlson devant la porte.
HC : J’ai peur, capitaine, aidez-moi s’il vous plaît.
Ce petit garçon était terrifié et je ne pouvait pas le laisser là dehors, je le fis donc entrer.
HR : Entre Hugo, je vais te faire un chocolat chaud, tu veux ?
Mac arriva à ce moment-là et vu que c’était Hugo.
SM : Bonjour, Hugo, lui dit-elle dans un grand sourire.
HC : Bonjour, colonel.
SM : Tu peux m’appeler Mac tu sais
HC : D’accord, Mac, répondit-il avec un faible sourire.
SM : Je vais aller prendre ma douche. Dit-elle. Ainsi vous pourrez parler entre hommes, ajouta-t-elle avec un clin d’œil.
Mac parti donc prendre sa douche et j’amenais Hugo dans la cuisine et commença à faire cuire du lait. Quand le chocolat fut prêt, je tendit une tasse à Hugo et attendit qu’il commence à parler.
HC : J’ai peur, capitaine.
HR : Tu peux dire Harm, si tu veux.
HC : Mac vient de me dire la même chose, me dit-il avec un faible sourire.
Je souris et l’invita à continuer :
HR : Et de quoi as-tu peur, bonhomme.
HC : C’est maman, elle a su que je vous avais vu et elle a dit que je vous avais parlé. J’ai essayé de lui dire que je ne vous avais rien dit mais elle n’écoutait pas et elle m’a giflé. Comme toujours quand elle a bu !
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stephanie
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MessageSujet: Re: Mort d'un quartier-maitre [Achevé] A-0   Mort d'un quartier-maitre [Achevé] A-0 EmptyVen 17 Juin à 15:25

HR : Elle boit beaucoup, ta maman ?
HC : Oui, elle rentre saoul presque tous les jours.
HR : Tu savais que ton papa voulait partir ?
HC : Oui, il me l’avait dit parce qu’il voulait que je vienne avec lui. Et je lui avais dit que je voulais partir avec lui parce que je voulais plus que maman me frappe, mais maintenant il est mort et je ne pourrais pas partir avec lui.
En disant cela, Hugo avait commencé à pleurer et là, il sanglotait. Je ne pouvais pas supporter de voir ce petit garçon pleurer devant moi et je m’approchais de lui pour le prendre dans mes bras. Il mit sa tête sur mon épaule et pleura beaucoup. Quand il eu arrêté de pleurer je le repoussais gentiment pour pouvoir le voir et lui demanda :
HR : Hugo, est-ce que ta maman était à la maison le jour de la mort de ton père ?
HC : Non, elle n'était pas là. Et quand elle est rentrée, elle était pleine de sang et elle avait le fusil de papa. Elle a dit que maintenant plus personne ne nous séparerait. Me répondit-il dans un sanglot.
Mac arriva à ce moment-là.
SM : Hugo, j’ai entendu ce que tu as dit. Tu vas rester ici aujourd’hui, on va demander à quelqu’un de rester avec toi d’accord ?
Il acquiesça de la tête et demanda presque tout bas :
HC : Vous allez l’arrêter ?
HR : Non, on ne peut pas le faire nous même mais on va trouver une solution, je te le promets. Répondit-je.
HR : Attend-nous là, on revient
On laissa donc Hugo dans la cuisine, pour aller dans la pièce à coté
SM : Harm, tu as un plan ?
HR : Pas encore mais je vais trouver. En attendant, on va aller chercher l’apprenti Jonhson pour qu’elle reste avec Hugo.

17/01/03
8 :30
Norfolk

Après avoir laisser Hugo aux mains de l’apprenti Jonhson, nous avions rejoint notre bureau et je téléphonais à l’amiral pour lui expliquer toute l’histoire.
AJ : Bien, capitaine. Ce n’est plus l’affaire du Jag mais comme je sais que si je vous dit de rentrer maintenant vous ne le ferez pas, je pense que vous pouvez rester pour aider la police. De toute façon le crime a été commis sur un terrain militaire donc il vaut mieux que vous restiez pour être à la disposition de l’inspecteur chargé de l’enquête.
HR : Merci, amiral

17/01/03
9 :00
Quartier général de l’unité spéciale des victimes, New York

Le capitaine Cragen avait rassemblé tous ses hommes pour leur parler de l’affaire dont il venait d’être informé :
CC : Elliot et Olivia vous allez partir pour Norfolk.
ES : Qu’est ce qui se passe, capitaine
CC : Un meurtre a été commis sur un terrain militaire mais il y a un petit garçon dans l’histoire qui prétend que sa mère le bat et qu’elle a tué son père pour ne pas qu’il les sépare. Vous travaillerez avec des officiers du Jag. Ils vous mettront au courant de l’affaire. J’espère que vous pourrez collaborer avec l’armée.
OB : Pas de problème, capitaine.

17/01/03
14 :00
Norfolk

Mac et moi étions rentré mangé avec Hugo et l’apprenti Jonhson et puis nous étions retourné dans notre bureau pour réfléchir à ce que nous pourrions faire. Mais l’amiral avait prévenu la police donc nous ne pouvions plus faire grand chose. Mais quelqu’un frappait à la porte. Mac alla ouvrire.
SM : Bonjour ?
ES : Bonjour, je suis l’inspecteur Elliot Stabler et ma collègue Olivia Benson, nous travaillons pour l’unité spéciale aux victimes, l’USV.
SM : Enchanté, je suis le lieutenant-colonel Sarah Mackenzie et voilà le capitaine Harmon Rabb Jr.
Je m’étais rapproché. Tout le monde se serra la main, puis Mac et moi avons mis au courant de l’affaire les deux inspecteurs.
ES : Il va nous falloir parler à Hugo Carlson.
SM : Pas de problème, il est dans mes quartiers, si vous voulez nous pouvons y aller tout de suite.
HR : Que comptez-vous faire s’il s’avère que Madame Carlson est coupable ?
ES : Nous l’arrêterons pour le meurtre de son mari et pour maltraitance à enfant.
SM : Et pour Hugo ?
OB : Il sera amené chez l’assistance sociale et il sera placé dans une famille d’accueil et je suppose que sa mère sera déchue de ses droits parentaux donc il pourra être adopté.

17/01/03
14 :30
Norfolk, quartier de Mac

A peine arrivé, je compris que quelque chose n’allait pas. La porte était ouverte et l’apprenti Jonhson était allongée par terre. Je m’approchait, l’apprenti Jonhson était assommée. Elle repris connaissance peut de temps après.
CJ : Elle l’a emmené, capitaine, je n’ai rien pus faire.
HR : Calmez-vous, apprenti, et racontez nous ce qui c’est passé.
CJ : Hugo et moi étions dans la cuisine en train de jouer à un jeu de société quand quelqu’un a frappé à la porte. Je n’ai pas fait attention et j’ai ouvert sans regardé qui c’était, oh c’est de ma faute capitaine.
OB : Ce n’est pas votre faute, mademoiselle, vous ne pouviez pas savoir.
CJ : Elle m’a frappé avec un morceau de bois et je me suis évanouie. Mais je n’ai pas tout le temps été inconsciente, j’ai entendu Hugo crier depuis la cuisine et sa mère hurlait aussi que ce n’était qu’un petit bon a rien, qu’il devrait être à l’école et qu’il n’a rien à faire ici. Mais Hugo m’appelait mais je ne savais rien faire. Oh je m’en veux.
ES : Avez-vous entendu où elle comptait emmener Hugo ?
CJ : Non, monsieur, je suis désolé.
SM : Ce n’est pas grave, apprenti, reposez-vous


17/01/03
15 :00
Norfolk, quartier de Mac

Nous avions installé l’apprenti Jonhson dans le lit de Mac après que le médecin lui ai donné quelque chose pour elle dormir et nous étions tous les quatre dans la pièce à coté pour faire le point.
ES : Nous devrions faire deux groupes et partir chacun de notre coté pour essayer de les retrouver.
HR : Bonne idée, nous nous donnons rendez-vous ici vers 19h.
ES : Ok, je propose que Olivia, tu aies avec Harm et que Mac vienne avec moi ainsi on n’aura pas de problème dans les endroits où les civiles ne peuvent pas aller.
SM : Pas de problème pour moi et toi Harm ?
Je n’y voyais pas d’inconvénient et Olivia non plus, nous partions donc à la recherche de Hugo et de sa mère après avoir laisser un mot pour l’apprenti Jonhson.

17/01/03
15 :00
Norfolk

J’avais pris la voiture et Olivia et moi étions parti vers le sud tandis que Mac et Elliot partaient vers le nord. Après 5 minutes, je rompis le silence :
HR : Je ne comprend pas pourquoi c’est l’USV qui s’occupe de cette affaire.
OB : C’est simple c’est parce que nous nous occupons des affaires de maltraitance à enfant.
HR : Je pensais que l’USV s’occupait uniquement des affaires de viols.
OB : Non, nous nous occupons aussi des maltraitances, des abandons, des viols.
HR : Ca doit être très dur comme travaille.
OB : C’est très dur surtout quand on se retrouve dans une de nos affaires. Surtout Elliot, quand il s’agit d’une affaire concernant des enfants, il imagine ses enfants dans la situation et quelques fois c’est dur.
HR : Et vous vous n’avez pas d’enfant ?
OB : Non, je n’en ai pas. Et vous, Harm ?
HR : Non, je n’ai pas d’enfant.
Notre conversation fut interrompue par la sonnerie de mon téléphone. Je décrochais :
HR : Rabb
HC : Harm, il faut que vous m’aidiez, elle me fait peur.
HR : Hugo, calme-toi, où es-tu ?
Il n’eu pas le temps de me répondre, on avait raccroché.
HR : C’était Hugo, il m’a dit qu’elle lui faisait peur mais il n’a pas eu le temps de me dire où il était, on a raccroché.
OB : Il faut rentrer et rappeler Mac et Elliot, et mettre votre téléphone sur écoute pour pouvoir le localiser s’il rappelle.
HR : OK.






17/01/03
16 :00
Norfolk, quartier de Mac

Elliot et Mac étaient arrivé un peu avant nous.
SM : Qu’est ce qu’il se passe vous l’avez retrouver ?
HR : Non, il m’a appeler mais il n’a pas su me dire où il était.
OB : Il faut mettre le téléphone de Harm sur écoute pour pouvoir le localiser s’il rappelle.
ES : Bonne idée, mais nous n’avons pas de matérielle.
HR : Et si nous téléphonions a Webb ?
OB : Qui est Webb ?
SM : Un ami qui travaille pour la CIA, il nous aidera sûrement.
ES : Pourquoi pas, on n'a rien a perdre.

17/01/03
17 :00
Norfolk, quartier de Mac

Webb avait accepté de nous aider. Il venait d’arriver et les présentations faites, il installait son matérielle.
SM : Vous pensez vraiment qu’il va rappeler ?
OB : Il a confiance en vous, s’il a encore l’occasion il rappellera.
CW : Voilà, Harm, j’ai fini. Il ne reste plus qu’a attendre.
HR : Merci, Webb
CW : Vous me remercierez quand on l’aura retrouver.
Et l’attente débuta. Vers 20h, on commença à avoir faim et Mac et Olivia préparèrent quelque chose à manger. Quand nous avons eu fini de manger, nous décidions de faire un tour de garde pour la nuit pour que tout le monde ne reste pas à attendre devant le téléphone. Je pris le premier tour de garde avec Webb qui avait décider de rester dans le salon pour qu’on le réveille si le téléphone sonnait pour qu’il puisse mettre son ordinateur en route. Vers 23h, Olivia décida d’aller se coucher et les autres la suivirent. Je restait donc seul avec Webb qui c’était endormi sur le canapé.

18/01/03
0 :30
Norfolk, quartier de Mac

J’entendis soudain un bruit et retournait la tête pour voir Mac derrière moi avec des larmes pleins les yeux.
HR : Hey, Sarah, ça ne va pas ?
SM : Je suis inquiète pour Hugo, Harm, je l’aime bien cet enfant.
Je l’attirait vers moi et la pris dans mes bras et lui dit tout bas :
HR : Moi aussi, je l’aime bien. Je suis sur que l’on va le retrouver.
SM : Je peux rester près de toi ?
HR : Bien sur.
Et l’attente repris mais cette fois j’avais Mac près de moi.
HR : Mac, je… en fin Olivia…
SM : Ce n’est pas très clair, flyboy. Dit-elle en essayant de plaisanter.
HR : J’ai pensé à quelque chose, Mac. Et si notre premier enfant n’était pas tout à fait à nous ?
SM : Harm ? Tu penses à quoi ?
HR : Si nous adoptions un enfant ?
SM : Tu penses à Hugo ?
HR : Oui
SM : C’est une super idée, Harm. Dit-elle en me regardant.
Je pris alors sa figure dans mes mains et commençais à l’embrasse lorsque mon portable sonna enfin. Tout le monde fut debout en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Je décrochait alors le téléphone.
HR : Rabb
HC : Harm, j’ai réussi a vous téléphoner pendant qu’elle dort de toute façon elle ne se réveillera pas avant un bon moment, elle a bu toute la soirée.
HR : Hugo, comment vas-tu ?
HC : J’ai peur, mais je vais bien.
HR : Est-ce qu’elle ta fait du mal ?
Et là Hugo se mis à pleurer, j’essayait de le calmer :
HR : Hugo, calme toi bonhomme, dis moi se qu’elle ta fait ?
HC : Elle m’a frappée et je crois que mon poignet est cassé, il me fait très mal parce qu’elle me la tordu tout à l’heure quand elle a vu que je vous appelait. Venez me chercher, Harm, s’il vous plaît.
C’était un véritable appel à l’aide que m’adressait ce petit garçon, à cet instant Webb annonça qu’il l’avait localiser.
HR : Ecoute moi, Hugo, je vais venir te chercher mais il faut que tu retiennes ta maman jusqu’à ce que j’arrive.
Je raccrochais.
ES : Où sont-ils monsieur Webb ?
CW : Dans un petit hôtel près de Washington. Voilà l’adresse.
SM : Merci, Webb.
CW : Je pense que je vais venir avec vous.
OB : OK, allons-y.

18/01/03
6 :00
Hôtel « La route »

C’était un tout petit motel de route où les routiers s’arrêtent pour ce reposé avant de poursuivre leur route. Elliot, qui avait pris la direction des opérations, interrogea le réceptionniste qui devait avoir à peine 18 ans.
ES : Avez-vous vu un petit garçon et sa maman ? Il se sont arrêté dans votre hôtel.
R : Je ne sais pas si je peux vous le dire.
ES : (montrant sa carte de police) Et comme ça, tu peux me le dire ?
R : Oui, je les ai vu, répondit-il impressionner, d’ailleurs ils sont encore là.
ES : Quel chambre ?
R : 403, voilà le passe.
ES : Merci, trop aimable.
Nous nous rendions donc vers la chambre 403. Quand une porte s’ouvrit à la volée et qu’un petit garçon se précipita vers moi.
HR : Hugo, comment vas-tu mon grand ?
Mais Hugo ne pouvait pas me répondre tellement il pleurait. Je le pris alors dans mes bras pour le laisser pleurer.
Pendant ce temps, Elliot, Olivia et Webb avaient arrêté Madame Carlson pour le meurtre du quartier-maître Carlson et maltraitance à enfant sur la personne de Hugo Carlson. Quand elle passa près de Mac, Hugo et moi, elle lâcha :
MC : Vous le regretterez, je vous le promet.
Hugo pleurait toujours dans mes bras quand une ambulance arriva, c’était le réceptionniste qui les avait prévenu. Les ambulanciers voulurent prendre Hugo pour l’examiner mais celui-ci ne voulait plus me lâcher, je du donc monter dans l’ambulance avec lui et parti pour l’hôpital.

18/01/03
7 :30
Hôpital de la marine de Bethesda

Mac nous avait rejoint à l’hôpital et le médecin était en train de plâtrer le poignet de Hugo qui était cassé lorsque Elliot et Olivia arrivèrent.
ES : Comment va-t-il ?
HR : Physiquement, il va bien mais moralement il lui faudra un peu de temp.
OB : Nous avons fait une recherche, il n’a plus aucune famille, il est donc orphelin.
Pourquoi nous disait-elle ça ? Nous avait-elle entendu parler de l’adoption ? Elliot dus voir mon regard ahurie devant la nouvelle, car il précisa :
ES : Nous vous avons entendu parler, hier soir, et nous avons pensé que vous voudriez le savoir. L’assistante sociale va arriver, vous pourrez lui parler.
HR : Merci pour tout ce que vous avez fait.
OB : Notre boulot. Au revoir, capitaine, colonel
SM : Au revoir, inspecteurs
L’assistante sociale arriva, effectivement, peut de temps après.
Et après quelque minutes de discussion, nous nous étions mis d’accord. Hugo pouvait rester avec Mac et moi et l’assistante sociale nous enverrait les papiers pour l’adoption.

19/01/03
8 :30
Falls Church, Virginie

Mac et moi étions devant l’amiral et celui-ci nous regardait en souriant.
AJ : Ainsi, vous avez en fin de compte compris vos sentiments ?
HR : Heu…
SM : Oui, monsieur.
AJ : Bien, bon je vais m’arranger pour que vous continuiez à travailler ici tous les deux mais ne vous faites pas remarquer.
HR : A vos ordres, amiral
AJ : En fait, capitaine, comment s’appelle votre fils ?
HR : Hugo, monsieur.
AJ : Oui, c’est ça et comment va-t-il ?
SM : Il se remet, amiral
AJ : tant mieux. Rompez
HR : A vos ordres
Lorsque nous sommes sortis du bureau de l’amiral, une surprise nous attendait.
HC : Bonjour, Harm
HR : Hugo, que fais-tu ici ?
BB : Il voulait vous voir, monsieur, je lui ai dit que vous deviez travailler mais il est parti de chez vous avant que j’ai eu le temps de le voir.
HR : Et alors, jeune homme, tu ne peux pas partir comme ça !
HC : Je sais, Harm. Me répondit-il tout penaud
HR : Aller viens, je vais te présenter à mes collègues
Et c’est ainsi que tout le monde au Jag, rencontra Hugo.

The end
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